logo sigmund test
Panier (0)

News

L'actualité du recrutement et des tests de recrutement

(Pour certain pays des articles sont traduits de notre site français par un traducteur automatique)

 

Les « soft skills » dans l'enseignement supérieur

sept. 16, 2018, 17:07 Par Laurent Schwartz

#softskills : Habituellement, les universités, les Écoles d’Ingénieurs et les Écoles de Commerce se concentrent sur l'enseignement des savoirs plutôt que sur les « soft skills » et les compétences non techniques. De nombreux travaux de recherche ont permis de déterminer ces compétences recherchées par les entreprises, que l’on peut évaluer par des tests comme Compétences Pro Junior. Parmi ces compétences, on peut citer la créativité, la résolution de problèmes, la communication personnelle, l'écriture et l'expression orale.

Les étudiants apprennent comment devenir ingénieur, comptable ou dentiste, mais ils n'apprennent pas les compétences sociales et les attitudes qui permettent de réussir. Sans ces compétences générales, le jeune diplômé fait souvent face à de nombreuses difficultés à son entrée dans la vie professionnelle. Avec une bonne formation technique, les jeunes diplômés peuvent exercer un métier ; ils peuvent concevoir un produit, ils peuvent guérir une maladie, ils peuvent développer des modèles de croissance économique, mais ils peuvent plus difficilement communiquer efficacement, travailler en équipe ou résoudre des problèmes complexes ou interpersonnels. Pour compenser cela, beaucoup d’argent et d’énergie sont investis en entreprise soit en amont pour évaluer ces compétences par des tests au moment du recrutement soit en aval pour la formation aux compétences non techniques de leurs salariés. Mais ces formations sont généralement trop courtes et insuffisantes. Les étudiants de leur côté devraient pouvoir acquérir des compétences non techniques avant d'obtenir leur diplôme. Dans cet article nous décrirons des exemples de méthodes permettant d’évaluer les « soft skills » par des tests et de développer ces compétences non techniques au cours des études.



Il y a deux types de compétences : les compétences spécialisées et les compétences générales. Les compétences spécialisées sont les compétences que l’on utilise pour accomplir un travail. Les compétences spécialisées sont des compétences tangibles, des connaissances que nous apprenons à l'école et que nous utilisons au travail. Les compétences non techniques sont des compétences intangibles que nous apprenons par des formations de développement personnel et que nous utilisons au travail et dans la vie quotidienne, les « soft skills ».

 

evaluer les soft skillsPour travailler, nous avons tous besoin de maîtriser un minimum de compétences techniques. Les dentistes doivent savoir comment faire des implants. Les secrétaires doivent savoir comment utiliser les programmes informatiques. Les comptables doivent savoir comment préparer un bilan. Mais d’une manière générale, nous préférons des dentistes qui ont de l'empathie, des secrétaires dont l'attitude est toujours positive, des comptables qui savent écouter. Nous sommes généralement recrutés sur nos compétences spécialisées, mais notre évolution de carrière va dépendre de no

s « soft skills ». En entreprise, on constate ainsi que les gens qui ont le plus développé leurs « soft skills » résolvent mieux les problèmes courants ce qui justifie que les entreprises s’intéressent tant aux « soft skills » et mettent en place des tests pour les évaluer dans leur processus de recrutement.

soft skills et les connaissancesLes « hard skills » est un nouveau terme, apparu récemment afin de les distinguer des « soft skills ». L'ingénierie, la comptabilité, l'enseignement, la lutte contre l'incendie, la cuisine, la couture sont quelques exemples de compétences spécialisées, de « hard skills ». Les compétences spécialisées sont principalement acquises dans le système scolaire ou dans le cadre d'une formation tout au long de la vie. Les moyens traditionnels d'acquérir des compétences spécialisées sont les écoles d’enseignement professionnelles et les universités. La plupart des activités d'enseignement et d'évaluation se concentrent sur les compétences spécialisées. Les études de premier cycle, de maîtrise et de doctorat enseignent principalement des compétences spécialisées. Un étudiant en génie informatique apprend à programmer un ordinateur à l'université, il obtient un master pendant les études supérieures et approfondi encore son domaine d’étude durant la phase de doctorat. En d'autres termes, toute l'éducation supérieure est consacrée à l'enseignement et à la maîtrise de compétences spécialisées et des savoirs.

Les compétences non techniques, les « soft skills » sont des compétences que les gens utilisent pour communiquer, résoudre des problèmes, diriger, faire preuve d'empathie et penser de façon créative. La définition des « softs skills » s’appuie généralement sur la fonctionnalité du « soft skills », et non sur sa description, ce qui dans le monde formaliste de l’enseignement rend les choses encore plus compliquées. Il y a des formations sur des compétences comme les « compétences de présentation » qui sont définitivement des compétences ; et il y a d’autres formations sur par exemple l' « éthique » ou la « sociabilité », qui ne peuvent pas être vraiment catégorisées comme formation à une compétence. Ici nous définirons les compétences non techniques comme étant les compétences que l'on peut acquérir par la formation et qui peuvent favoriser l’exploitation des autres compétences, par exemple en termes de communication, d'adaptabilité et de résolution de problèmes.

 

LE PROBLÈME ET LE BESOIN

recrutement de salariersLorsque des jeunes diplômés accèdent au monde professionnel, ils bénéficient assez souvent de la part de leurs employeurs d’une formation en compétences non techniques comme la communication, l'adaptabilité, le travail d'équipe, l'écoute, la résolution de problèmes et la créativité. La plupart de ces formations sont des séminaires ou des ateliers d'un ou deux jours. Il est cependant irréaliste d’attendre des résultats probants dans des délais si courts. Si un stagiaire peut vraiment apprendre à être plus efficace en communication inter personnelle ou à être créatif en deux jours, l'éducation nationale devrait vivement intégrer ces types de formation dans les cursus nationaux ! De nombreuses entreprises investissent beaucoup de temps et d’argent pour que leurs collaborateurs développent leurs « soft skills », développant ainsi leur capacité à travailler en équipe, leur capacité à être persuasif dans leur présentation, à résoudre les problèmes d’équipe auxquels ils sont confrontés, mais les résultats sont souvent mitigés, comme l’a démontré Barbara Kellerman, de l'Université de Harvard.

Les entreprises cherchent aussi à évaluer le retour sur investissement de ces formations. Un examen peut facilement mesurer la connaissance académique, mais il est très difficile de diagnostiquer le changement de comportement, qui va généralement se produite sur un temps assez long. Les comportements et les attitudes s’acquièrent sur de longues périodes et il est très difficile de les modifier par un séminaire de deux jours et de le constater rapidement des changements. Le style de communication et l'attitude que l’on a en groupe s’apparentent à des habitudes et il reste difficile d'acquérir une nouvelle habitude et d'arrêter ses anciens comportements. Par conséquent, le changement de comportement est limité après une formation à court terme parce que le changement est avant tout un processus.

Enfin il faut aussi citer une autre difficulté concernant les formations sur les « soft skills », elles ne fonctionnent généralement pas individuellement. La structure générale de ces formations nécessite un groupe.

 

LES SOLUTIONS

Une solution possible pourrait être l'apprentissage contextuel. L'apprentissage contextualisé est un concept dans lequel l'apprenant apprend à travers le contexte. C'est comme apprendre la natation dans une piscine ou dans la mer, ou apprendre une langue dans un pays étranger. Les jeunes apprennent à utiliser ou à programmer des ordinateurs ou des téléphones en jouant avec eux, etc…

les skillsSelon la théorie de l'apprentissage contextuel, cet apprentissage ne se produit que lorsque les apprenants traitent de nouvelles informations ou de nouvelles connaissances d'une manière telle qu'elles ont un sens pour eux dans leurs propres cadres de référence. L'esprit cherche naturellement le sens dans le contexte qu’il connait et sélectionne des relations qui lui semblent utiles.

Dans les environnements contextuels, l'apprenant découvre des relations significatives entre les idées abstraites et les applications pratiques dans le contexte du monde réel ; les concepts sont intériorisés par le processus de découverte, de renforcement et de mise en relation. Le cadre d'une classe comme univers théorique pour l'apprentissage de la communication interpersonnelle, du travail d'équipe ou de la résolution de problèmes est généralement insuffisant. En effet, c'est dans le contexte réel que les étudiants apprennent le mieux ces compétences.

La vie de l'entreprise en cela fournit un contexte idéal pour l'apprentissage des compétences non techniques. Cependant, les entreprises ont déjà beaucoup à faire  - avec leurs concurrents, leurs processus innovation, la recherche de nouveau client, la fidélisation des clients existants, etc…. -  pour passer beaucoup de temps à développer les « soft skills » de leurs salariés. Bien souvent les entreprises préfèrent les employés dont les compétences non techniques sont déjà acquises. Ainsi les entreprises utilisent-elles des tests permettant d’évaluer les « soft skills » nécessaires à la réussite professionnelle, mais qui ne sont généralement pas directement acquise dans l’enseignement professionnel. Parmi ces tests de recrutement on peut notamment citer « Potentiel Junior » qui évalue 28 « soft skills » principalement recherchés chez les jeunes diplômés et  le bon moment pour développer ces « softs skills »  semble bien être avant la vraie vie professionnelle, c'est-à-dire à l’école ou à l'université.

 

Les activités d'acquisition de compétences non techniques à l'université

Il y a plusieurs façons pour un étudiant d'acquérir une compétence non technique à l'université. Nous allons citer ici quelques exemples que nous analyserons :

soft skills théâtreLe théâtre : Le théâtre est un bon moyen pour apprendre à gérer ses émotions et ses relations avec les autres. On peut citer facilement une dizaine compétences, traits et « soft skills » qui peuvent être développés chez les étudiants qui font du théâtre, par exemple :

  • Habileté de communication orale : Beaucoup d'étudiants trouvent que le théâtre les aide à développer leur confiance en eux, ce qui est essentiel pour parler clairement, lucidement et de façon réfléchie.
  • Capacités créatives de résolution de problèmes : les étudiants qui font du théâtre font preuve de créativité dans des domaines comme l’interprétation, le design, la dramaturgie ou la mise en scène.
  • La volonté et le travail en coopération : sur une représentation théâtrale, l’étudiant apprend à travailler efficacement avec des types très différents de personnes. Le théâtre exige que les participants travaillent ensemble pour que la production soit un succès…
  • L’autonomie : Dans le théâtre, on assigne souvent à l’étudiant des tâches qu’il doit accomplir sans supervision. Être chef d'équipe, participer à la mise en scène, trouver un accessoire, travailler en dehors des répétitions.
  • Gestion du temps : L’étudiant doit planifier ses journées avec soin pour concilier dans son emploi du temps ses cours, les répétitions, les besoins de travail personnel et les autres demandes suscitées par le théâtre.
  • Initiative : La complexité d’une représentation théâtrale nécessite des personnes impliquées, qui font ce qui doit être fait sans attendre qu'on le leur demande, sans qu'il soit nécessaire de le leur dire.
  • Efficacité et respect des délais :Le retard n'est jamais acceptable au théâtre parce qu'il démontre un manque d'autodiscipline et, plus important encore, un manque de considération pour les autres.
  • Acceptation des règles : Dans le théâtre, les étudiants travaillent dans le cadre d'un ensemble de procédures et de règles qui traitent de tout, de la sécurité au comportement lors des représentations et des répétitions.
  • Le respect des autres : Au théâtre, on découvre qu'une production réussie exige la contribution de tous ceux qui y participent. Le respect mutuel est essentiel.
  • Le respect de l'autorité : Le théâtre vous apprend à accepter et à respecter volontiers l'autorité, que ce soit le metteur en scène ou le directeur.
  • Adaptabilité et flexibilité : Les étudiants doivent être prêts à essayer de nouvelles idées, à accepter de nouveaux défis et à s’adapter à des situations et à des conditions en constante évolution.
  • La gestion du stress et de la pression : Le travail théâtral exige souvent de longues heures de travail avec beaucoup de pression au moment des représentations.

 

Le sport

La plupart des sports aident à acquérir des compétences générales. Un étudiant universitaire membre de l'équipe de sport doit participer à des exercices quotidiens. Il améliore ses compétences en gestion du temps en s’organisant entre les activités sportives et son travail académique.

Parmi les « soft skills » développés par le sport on peut citer :

  • Le travail en équipe : La pratique d’un sport collectif prépare un étudiant à fonctionner efficacement dans des situations personnelles et professionnelles qui exigent la coordination des actions d'autres personnes.
  • La prise de décision : La pratique du sport aide les participants à prendre des décisions en observant et en interprétant rapidement l'information
  • La Communication : La pratique du sport aide les étudiants à développer leur capacité à travailler ensemble de manière efficace en utilisant des techniques qui s'appliquent également à l’entreprise.

 

Les stages en entreprise

soft skills stageLe stage en entreprise peut être une bonne occasion d'acquérir une compétence non technique. Pendant son stage, l'étudiant a la possibilité d'observer les codes et modes de communication, les tenues vestimentaires utilisées dans le monde de l’entreprise. En même temps, l'étudiant peut apprendre quand parler et quand s'arrêter de parler. Le coût d'une erreur est faible tant pour le stagiaire que pour l'employeur. Le stagiaire a de petites responsabilités ; s'il ne peut pas s'acquitter de celles-ci, ce ne devrait pas être un gros problème pour l'entreprise. En revanche, l'étudiant a la chance d'apprendre de ses propres petites erreurs. L'étudiant apprend également à se conformer aux horaires de travail, au mode d’organisation, soft skills ongetc.

Travaux et projets de bénévoles

En général, les projets sont des outils d'apprentissage très efficaces et le bénévolat dans le cadre de projets universitaires contribue également à l'acquisition de compétences non techniques. Essayer de collecter des dons pour une association ou d'organiser un congrès ou une foire pour une fondation aide beaucoup à améliorer la communication et la résolution de problèmes. Une collecte de dons efficace nécessite des compétences en persuasion pour convaincre les particuliers ou les entreprises à faire un don. Les organisations sans but lucratif travaillent généralement avec beaucoup de bénévoles et chaque bénévole doit alors travailler en harmonie avec les autres, développant ainsi le travail en équipe. Dans les ONG, les relations entre les bénévoles étant d’un type non hiérarchique (pas de subordination), le « leadership » est souvent plus nécessaire qu'ailleurs. Le monde associatif représente un très bon environnement pour l'acquisition de compétences non techniques.

 

Projets artistiques

Les projets artistiques peuvent aussi aider les étudiants universitaires à acquérir des compétences non techniques. Chaque projet artistique est une vision ou un rêve à créer. L'étudiant tente de réaliser ce rêve à travers sa créativité, généralement sous les contraintes du réel, comme l’écart entre les ressources disponibles et les ressources nécessaires à la réalisation du rêve. Ainsi, l'étudiant doit résoudre le problème des ressources rares pour réaliser son rêve. La plupart des projets artistiques ont des dates limites, comme une date d'exposition ou un jour de présentation. Par conséquent, les étudiants apprennent à gérer leur temps efficacement. Les projets artistiques de groupes aident aussi à améliorer l'esprit d'équipe et à enseigner la coopération aux membres de l'équipe.

 

Les Travaux Dirigés où TD

Les TD sont tout aussi importants pour que les étudiants acquièrent des compétences non techniques. Chaque TD a un modérateur ou un enseignant, et cela permet d’apprendre à travailler avec une autorité. Dans un TD, l'élève a des camarades de classe et il doit apprendre à interagir efficacement avec eux. Il y a une compétence ou un contenu à apprendre ou à réaliser, de sorte que l'étudiant doit gérer son temps et se concentrer sur le sujet. Chaque atelier et a des heures de début et de fin comme les heures de travail, ce qui aide à développer le sens des responsabilités.

 

Voyages internationaux et nationaux

soft skills et  voyageChaque voyage dans un territoire, une ville ou un pays inconnu peut aider un étudiant à acquérir des compétences non techniques. Le voyage permet à l’étudiant d'améliorer ses compétences pour faire face à l'incertitude. Parce que les voyageurs ont besoin de trouver comment se loger, manger et se déplacer dans des endroits inconnus, ils doivent apprendre à planifier et à s’organiser. L'étudiant doit apprendre à communiquer avec les gens autour de lui, parfois avec des modes culturels différents, et à trouver des réponses. Tout voyage n’est également possible qu’avec un budget ; l'étudiant doit apprendre à gérer son budget et à se confronter aux difficultés.

La pratique d’un instrument de musique

Apprendre à jouer d'un instrument peut aider l’étudiant à acquérir de nombreux « soft skills » différents. La discipline est l'un des facteurs de succès les plus importants. À partir du jour où un élève se met à un instrument, la discipline l’aide à améliorer ses performances. Des efforts constants et périodiques pour jouer d'un instrument permettent de mieux enseigner la discipline. En plus d'apprendre à jouer d'un instrument, il pourra jouer dans un orchestre ou un groupe. Et là, à nouveau, il va pouvoir développer des compétences interpersonnelles.


Bref, de nombreuses situations permettent à l’étudiant de développer ses « softs skills ». Il y a cependant certaines conditions spécifiques qui peuvent faire qu'une telle activité contribue à l'acquisition de compétences non techniques. Celles-ci sont énumérées ci-dessous :

 

  • L'activité doit exiger un engagement. Un tournoi, un apprentissage, un poste, un projet qui doit nécessiter l'engagement de l'étudiant. Sans devoir d’engagement, l'étudiant pourrait ne pas accorder suffisamment d'importance à l'activité.

     

  • Engager la responsabilité personnelle de l’étudiant. Il y a beaucoup d'activités qui peuvent contribuer au développement des compétences non techniques. Mais si l’étudiant n'a pas de responsabilité personnelle, il peut facilement devenir un spectateur qui ne fait rien et n'apprend rien. Les compétences non techniques s'acquièrent principalement par l'expérimentation. L’étudiant doit être responsable des objectifs.

     

  • L’existence de règles, code vestimentaire ou matériel professionnel spécifique. Les activités avec certaines règles de communication et le code vestimentaire aident un étudiant à comprendre les règles générales de la vie professionnelle. Si par ailleurs l'activité comporte certaines contraintes temporelles, cela peut aider les étudiants à gérer efficacement leur temps.

     

  • Durée minimum de plusieurs mois.Comme on l'a déjà mentionné, les gens changent lentement. Il faut laisser le temps à l’étudiant pour que les nouvelles compétences s’encrent dans ses comportements.

     

     

  • Apprentissage contextuel. Les activités doivent fournir un contexte pour l'acquisition d'une compétence. Les voyages fournissent un contexte pour améliorer les compétences en communication. C’est la confrontation au contexte de la vie réelle qui permet l’acquisition des « soft skills ».

 

CONCLUSION

Pour leurs recrutements les entreprises recherchent des candidats ayant de bonnes compétences spécialisés attesté par des diplômes, et de bonnes compétences générales qu’elle évaluera par des tests de personnalité et de comportement professionnels comme Compétences Pro Junior. Les études universitaires se concentrent principalement sur l'enseignement de compétences spécialisées aux étudiants. Les élèves doivent également acquérir des compétences non techniques. L'apprentissage contextuel est un bon moyen d'acquérir des compétences non techniques. Les compétences non techniques peuvent être ainsi apprises lors d'activités durant les années universitaires, comme les stages, le sport, le bénévolat, les projets artistiques, les TD, les voyages internationaux et nationaux et l'apprentissage d'un instrument et la participation à un groupe musical, tout cela peut se faire pendant leurs études universitaires. L'acquisition de compétences non techniques implique généralement un changement d'attitude, ce qui peut être appris grâce à une formation de longue durée. Par conséquent, les universités et les écoles professionnelles sont des endroits appropriés pour acquérir des compétences non techniques à la fois en termes de temps et d'activités disponibles. D'après les exemples présentés dans ce document, il est clair que les activités pendant les années d’études supérieures contribuent à l'acquisition de compétences non techniques.